« Le premier à reconnaître une erreur est le plus courageux, le premier à pardonner le plus fort et le premier à oublier le plus heureux »
S’excuser, ce n’est pas perdre la face. C’est reprendre la main. Dans le management – et plus largement dans nos relations humaines – reconnaître ses torts crée un climat de confiance immédiat. Cela montre que l’on privilégie la relation à l’ego, que l’on est capable de se remettre en question, et surtout que l’on considère l’autre. Une excuse sincère apaise, ouvre le dialogue et donne l’exemple d’un leadership humain et assumé. Elle rappelle que l’erreur n’est pas un échec moral, mais un passage normal de toute collaboration vivante.
Pourtant, nombreux sont ceux qui redoutent de s’excuser. Par peur d’avoir l’air faible, d’être discrédités ou de perdre du pouvoir. Mais c’est l’inverse qui se produit : un manager qui sait dire « je me suis trompé » inspire plus de respect qu’un manager qui s’entête. L’excuse n’abîme pas l’autorité ; elle la rend légitime.
Alors comment bien s’excuser ?
D’abord, simplement. Pas besoin de grands discours : un « je suis désolé » clair et direct suffit. Ensuite, sincèrement : évitez le fameux « je suis désolé si tu l’as mal pris », qui déplace la responsabilité. Assumez. Reconnaissez le fait, expliquez ce que vous avez compris et ce que vous ferez différemment la prochaine fois. Et surtout, faites-le rapidement : plus on attend, plus le malaise s’installe.
S’excuser ne diminue pas. S’excuser relie. Et dans une équipe, c’est souvent ce lien-là qui fait toute la différence.
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